Né le 1/06/1871 à Baïgorry, il épouse en 1899 Catherine Caracotche née en 1876 à Irrissary. Elle est fille d’un brigadier des douanes.
Il prend la direction de l’Ancienne Maison Bourmalatz Frères et participe à des expositions régionales, à Bordeaux.
En 1897, il est récompensé par une médaille d’or et à Arcachon par une médaille de Bronze pour son chocolat extra fin à la vanille
Mobilisé en 1914, il est renvoyé dans ses foyers en 1916 pour cause de maladie.
Il serait décédé en 1946.
Jean Pierre Bourmalatz était le fils de Mathieu Bourmalatz menuisier domicilié à La Fonderie (Banca). Marié en 1858 (acte 12) à Baïgorry à Marie Oçafrain, elle même marchande dans ce village.
Ernest Martin né en 1866, son frère aîné, après des débuts dans la fabrique de chocolat, s’engage à Bayonne dans un régiment d‘infanterie. Il devient caporal en 1887 puis, sergent l’année suivante, lieutenant 1894 et capitaine en 1905. En 1911 il sera nommé chevalier de la Légion d’Honneur.
Il est tué en 1914 dans le village de Champion, en Meuse.
Depuis 1895 Jeanne Martocq (de St Jean Pied de Port) veuve se retire à Tarbes la ville de garnison de son époux, avec ses trois fils.
La famille Bourmalatz citée au début du XVIII° au quartier Otikoren maison Bastanchuhy, aux Aldudes.
JEAN-PIERRE BOURMALATZ
Fabrique de chocolat
Saint-Etienne-de-Baïgorry